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C’est parti pour la rédaction du Dossier de Consultation des Entreprises !

Dans la continuité des études de programmation qui permettront la conception et la réalisation de l’ouvrage, la province Nord, accompagnée par son assistant à maîtrise d’ouvrage Safege, attaque une phase cruciale pour la réalisation du barrage.

En effet, le Dossier de Consultation des Entreprises (DCE) est le document qui sera mis à disposition des candidats sélectionnés pour concourir à la conception et la réalisation de l’ouvrage, dans le cadre de la réglementation applicable aux marchés publics. C’est ce dossier qui va définir précisément les règles relatives à l’attribution et à l’exécution de l’opération.

Ainsi, les services provinciaux et Safege ont débuté au mois de mai le travail de rédaction de l’ensemble des pièces administratives et techniques nécessaires à la constitution de ce dossier. Il s’agit d’un travail ardu et exigeant, notamment parce que c’est le premier projet de cette ampleur mené en province Nord et parce que sa solidité juridique, administrative et fonctionnelle devra être irréprochable.

Ce travail va se poursuivre jusqu’en fin d’année 2023. Il sera ensuite suivi d’un appel à candidatures qui permettra d’identifier les groupements les plus aptes à concevoir et réaliser l’ouvrage. Une fois ces groupements identifiés, ils seront appelés à concourir, et celui qui établira la meilleure offre sera sélectionné pour concevoir et réaliser l’ouvrage.

En parallèle de cette procédure, de nombreuses opérations vont se poursuivre telles que la réalisation du captage de Papana, le développement du réseau d’irrigation agricole, les travaux de pistes dans la haute-vallée, la mise en place d’un réseau de suivi hydrologique et sédimentaire, ou encore le Projet de Territoire pour accompagner, cadrer et orienter les usages de l’eau de notre future ressource.

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Les études hydrologiques et du transport solide de la rivière Pouembout sont lancées !

La compréhension du fonctionnement de la rivière de Pwëbuu (Pouembout), les volumes d’eau et de sédiments qui y transitent, ses mouvements et son évolution interannuelle sont primordiales pour définir au mieux les modalités de gestion de l’ouvrage en considérant les usages et les besoins environnementaux à l’aval. L’évaluation des impacts du barrage sur la rivière et la recherche de solutions de réduction ou de compensation de ces impacts sont aussi l’une des principales préoccupations de la province Nord. C’est l’objet des deux nouvelles études qui viennent d’être lancées : l’étude de l’hydrologie et celle du transport solide de la rivière de Pwëbuu (Pouembout).

 La rivière au niveau de la confluence de la Poualoa et de la Napwé Bané – le point zéro de la retenue normale

Le choix du fonctionnement par lâcher d’eau(1) avec surverse en cas de crue du futur barrage de Pwëbuu (Pouembout) a été arrêté au Comité de Pilotage de juillet 2016. L’enjeu aujourd’hui est de définir les modalités de gestion de ces lâchers d’eau, des vidanges de l’ouvrage et de surverse afin de garantir à l’aval la satisfaction et la préservation des usages (agriculture et AEP) et des besoins environnementaux (débits et quantités de sédiments restitués).

Ces deux études vont s’appuyer sur des mesures de terrain pour caractériser l’état initial des débits d’eau et de sédiments qui transitent dans la rivière sur différentes périodes de l’année (basses eaux, hautes eaux, inondations). Sur cette base, des modélisations numériques seront développées afin de pouvoir simuler et comparer les situations avant barrage et après barrage. C’est à partir de ces résultats que vont être proposés les mesures de gestion parmi lesquelles on retrouvera notamment :
• La définition du débit minimum biologique qui devra être restitué en permanence à l’aval de l’ouvrage pour maintenir les écosystèmes ;
• La gestion de l’ouvrage pour adapter les débits lâchés aux besoins en aval ;
• La gestion de la retenue en période de crues afin de préserver les usages et les biens à l’aval ;
• Le dimensionnement des lâchers spéciaux qui permettront de remobiliser les sédiments à l’aval de l’ouvrage et éviter l’engravement du cours d’eau ;
• Les modalités de gestion des sédiments dans la retenue afin de maintenir la capacité de stockage de l’ouvrage : chasses, curage, valorisation, etc. ;
• Des préconisations visant à protéger le bassin versant qui alimente la future retenue pour réduire l’érosion et limiter les sédiments qui viendront se déposer dans la retenue.

Ces études vont s’étaler sur un peu plus de 2 ans pour pouvoir couvrir 2 périodes cycloniques et 1 période hydrologique complète (basses eaux et hautes eaux). Elles seront réalisées par le bureau d’étude ISL ingénierie. La province Nord, la DAVAR, la DIMENC et l’OFB (Office Français de la Biodiversité) se sont constitués en comité de pilotage afin d’assurer le suivi de ces études.

Pour suivre les avancées et les résultats de ce travail éminemment nécessaire à la bonne gestion de l’ouvrage et de la rivière, restez connectés ou posez vos questions dans la rubrique « Parlons-en » !

(1) Le fonctionnement en lâcher d’eau permet de restituer un débit en permanence au pied du futur ouvrage, aucune conduite ne sera installée. Ce mode de fonctionnement est plus respectueux de l’environnement et des usages puisqu’un débit est restitué en permanence dans la rivière et peut être variable pour simuler le fonctionnement naturel de la rivière.

Le Comité de Pilotage du barrage de Pwëbuu (Pouembout) acte une étape décisive pour le projet

Le Comité de Pilotage (COPIL) du projet barrage à usages multiples de Pwëbuu (Pouembout) s’est réuni le 04 avril. A cette occasion, les parties prenantes ont pu échanger sur les avancées du projet et les grandes étapes à venir.

Photo : Réunion du Comité de Pilotage du Barrage à usages multiples de Pwëbuu (Pouembout) © Sonia KONDOLO – Service de la Communication et de l’Accompagnement à l’Organisation

Ce COPIL a été présidé par monsieur Victor TUTUGORO, 3ème vice-président de l’assemblée de province Nord qui a animé les discussions, avec le soutien actif des principaux partenaires du projet : Mme Elodie DHURES pour l’Etat, M. Jérémie KATIDJO MONNIER pour le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et de M. Yann PERALDI pour la commune de Pouembout. En introduction de la réunion, le président et le membre du gouvernement ont rappelé le caractère fédérateur de ce projet vis-à-vis de la population et du Pays, et l’importance qu’il soit porté unanimement par l’ensemble des acteurs et partenaires (institutionnels, usagers, coutumiers, etc).

Ce comité de pilotage a été l’occasion pour la province Nord et la Nouvelle-Calédonie d’annoncer la validation du projet de convention de délégation de compétence pour permettre à la province Nord de concevoir et réaliser l’ouvrage, permettant ainsi de pouvoir relancer un certain nombre d’opérations en attente. Le membre du gouvernement a affirmé que « la Nouvelle-Calédonie est très heureuse de pouvoir accompagner les initiatives des territoires qui rencontrent des difficultés en période de sécheresse » et fait remarquer que la reprise d’un cycle météorologique de type El Niño dans les mois à venir allait rendre « la nécessité du barrage encore plus évidente ». Il a également souligné l’importance d’assurer la sécurité du développement de la zone VKP et l’autonomie alimentaire du Pays. Enfin, il a assuré que la Nouvelle-Calédonie serait présente et accompagnerait la province Nord dans la réalisation de ce projet.

Les prochaines grandes étapes pour le projet sont donc :

  • Le vote au congrès de la délégation de compétence,
  • Le lancement de la phase 4 de programmation : Rédaction du dossier de consultation des entreprises et lancement du concours en conception-réalisation,
  • La réalisation du projet de territoire en concertation avec les acteurs,
  • La poursuite des études environnementales,
  • Le lancement des travaux d’amélioration des pistes d’accès à l’ouvrage,
  • L’élaboration du plan de développement agricole 2050.

Ci-dessous le sujet réalisé par NC1ère à propos de ce comité de pilotage :

 

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La province Nord lance l’élaboration du Projet de Territoire

Le projet du barrage de Pwëbuu (Pouembout) avance assurément mais comment va-t-on utiliser cette nouvelle ressource une fois que celui-ci sera construit ? C’est pour répondre à cette question que la province Nord lance une vaste opération de concertation pour imaginer aujourd’hui les projets qui feront le territoire de demain.

Photo 1 : Equipe chargée de l’élaboration et du suivi du Projet de Territoire (Province Nord – SECAL – SEVE – KAHN & ASSOCIES) – ©Marion Bois

De par ses installations techniques et la ressource en eau qu’il apportera, le barrage de Pwëbuu (Pouembout) va offrir de nouvelles perspectives de développement au territoire. On pense tout d’abord à l’agriculture et à l’urbanisation (actuellement contraints par le manque d’eau) mais on peut également imaginer d’innombrables autres pistes : tourisme, loisirs, activités de transformation et de commercialisation des produits agricoles, valorisation du patrimoine, préservation de l’environnement, etc. L’optimisation de ces différents usages de l’eau nécessitera que les acteurs en place s’organisent en termes de gouvernance car il s’agira de ne pas de gaspiller cette nouvelle ressource.

Ces considérations impliquent de dessiner une vision du développement induit par le barrage et d’élaborer un programme d’intervention permettant sa réalisation. Cet exercice relève d’un « Projet de territoire » dont l’élaboration, la structuration et l’animation s’échelonneront sur la période 2022 à 2024.

Les objectifs qui découlent de ces enjeux tournent autour de 3 thématiques identifiées : la gestion de l’eau, le développement agro-pastoral et toutes les autres activités économiques et culturelles pouvant être imaginée.

C’est le groupement de prestataires SECAL – SEVE – KAHN & ASSOCIES qui a été retenu pour assister la province Nord dans l’élaboration du Projet de Territoire. Leur travail a débuté en mars 2023 pour une durée de 2 ans. Cette étude repose sur un travail participatif et une large concertation avec l’ensemble des acteurs sur le terrain. Aussi, n’hésitez pas à participer aux ateliers, expositions, site internet dédié et autres possibilités qui vous seront offertes car ce projet est celui de votre territoire.

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L’expertise faune et flore de la zone d’impact du projet barrage est achevée

Dans le cadre de la réalisation du barrage à usages multiples de Pouembout, une étude détaillée de la faune et de la flore aquatique et terrestre a été menée. Ses résultats permettent de caractériser l’état du bassin versant avant le démarrage des travaux et ainsi d’évaluer l’impact du projet avant, pendant et après les travaux. Cette analyse des impacts servira à retenir les mesures qui permettront de les éviter, les réduire ou les compenser.


Photo 1 : Présentation des résultats cartographiques de l’étude

Evaluation de la faune aquatique

 

Par la création d’une retenue d’eau conséquente, le barrage de Pwëbuu (Pouembout) entraînera une modification des régimes d’écoulement de la Pwëbuu (Pouembout) et des conditions de circulation des espèces aquatiques.

La régulation des débits permise par l’ouvrage aura des impacts positifs sur la vie dans le cours d’eau puisqu’en période de basses eaux, le niveau d’eau à l’aval de l’ouvrage pourra être supérieur à celui sans barrage.

Toutefois, la création d’un obstacle sur la rivière représente aussi un impact négatif qu’il est important de caractériser pour mieux anticiper les actions de remédiation. Cette évaluation passe par un inventaire des espèces aquatiques (poissons, anguilles, crevettes) afin de répertorier les espèces sensibles situées dans la zone d’influence du projet.

Photo 2 : Pêches électriques réalisées sur les stations aquatiques – © L’œil, Bioeko et Aqua Terra
Une pêche électrique est un dispositif consistant à injecter un faible courant dans l’eau pour paralyser un court instant les poissons afin de pouvoir les inventorier avant de les relâcher. Il est donc sans impacts ni sur les espèces, ni sur le milieu.

Parmi les 25 espèces repérées, une seule est menacée au regard de la liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Il s’agit d’une espèce de gobie endémique Sicyopterus sarasini. La présence de cette espèce place la sensibilité du milieu et l’enjeu à un niveau fort. Il faudra donc mettre en place des mesures visant à réduire l’impact de l’ouvrage sur le cycle de vie de cette espèce. En cas d’impossibilité, il conviendra de mettre en œuvre une compensation adaptée.

Evaluation de la faune et de la flore terrestre

 

Concernant la faune et la flore terrestre, les investigations se sont concentrées sur la zone d’impact direct de l’ouvrage, c’est-à-dire l’emprise du futur lac de retenue et le périmètre alentour.

Les investigations ont porté sur la flore, l’avifaune (oiseaux), l’herpétofaune (lézards et geckos), la myrmécofaune (fourmis) et les chiroptères (chauves-souris et roussettes). Les résultats de l’analyse révèlent un milieu terrestre très dégradé, principalement par les activités anthropiques et l’impact des espèces envahissantes telles que les cerfs et cochons.

Photo 3 : Pdonephelium cristagalli – source : www.endemia.nc – © Daniel & Irène Létocart

Seule une espèce végétale remarquable a été révélée lors de l’inventaire, le Podonephelium cristagalli. Celle-ci a récemment fait l’objet d’une réévaluation de sa sensibilité par l’association Endemia et sa répartition à l’échelle de la Nouvelle-Calédonie a justifié son déclassement de la liste rouge de l’UICN.

Ainsi, aucune sensibilité n’est à noter sur l’ensemble des compartiments terrestres pris en compte dans l’étude environnementale du projet et l’impact est qualifié de faible à modéré. Seules des mesures de préservation de l’état de référence seront donc proposées dans le cadre de l’étude environnementale.

L’ensemble des résultats de l’expertise faune et flore obtenus sera ensuite transmis au concepteur du barrage afin qu’il élabore le « projet de moindre impact environnemental ».

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Retour sur le CLIS du barrage de Pwëbuu (Pouembout) du 25 janvier 2023

Le Comité Local d’Information et de Suivi (CLIS) du projet barrage à usages multiples de Pwëbuu (Pouembout) s’est réuni le 25 janvier dernier. A cette occasion, les membres du CLIS ont pu échanger sur les résultats des études et l’avancement global du projet.


Photo 1 : Réunion de CLIS barrage de Pwëbuu (Pouembout) – ©Marion Bois, Sabine Jobert, Raïssa Poarairiwa et Adrien Pellequer

La réunion de ce mercredi 25 janvier a été présidée par son Vice-Président, Julien Barrault du Centre d’Initiation à l’Environnement et animée par le nouveau coordinateur de projet, Adrien Pellequer du service de l’eau de la province Nord.

Les points à l’ordre du jour de cette réunion étaient les suivants :

  1. Situation et avancement du projet
  2. Etudes environnementales
  3. Captage Papana
  4. Archéologie
  5. Projet de territoire
  6. Election des nouveaux Président et Vice-président du comité

Vous trouverez ICI la présentation diffusée en séance.

Le Vice-président nourrit comme beaucoup « l’espoir que la délivrance par la Nouvelle-Calédonie de la délégation de compétence de gestion du bassin versant de la Pwëbuu (Pouembout) à la province Nord puisse aboutir rapidement afin de pouvoir poursuivre sereinement des travaux avec l’objectif de la mise en eau en 2030 ».

En outre il retiendra notamment de ce point d’avancement que « d’un point de vue biodiversité le site est peu riche même si on y note la présence d’un poisson endémique menacé (le Sicyoptère de Sarasin) qui sera fortement impacté par le projet ».

Photo 2 : Sicyoptère de Sarasin (Sicyopterus sarasini) – source : www.endemia.nc – © Christine Pöllabauer

Julien Barrault retient également « la mise en lumière d’un site archéologique d’une importance majeure pour la culture kanak ». Enfin, il note « la présence de plusieurs personnes extérieures au CLIS ».

Cette réunion d’information a en effet rassemblé les membres du CLIS et 5 personnes du public, soit 26 personnes. Les questions portaient essentiellement sur les travaux à lancer sur les pistes d’accès au barrage, le captage Papana et le marché de conception-réalisation du barrage.

En raison de l’absence fortuite du Président du comité due aux conditions météorologiques l’élection a été reportée à une date ultérieure. Pour en savoir plus sur la programmation de ces prochaines élections continuez à nous suivre.

Le CLIS Barrage se réunit prochainement !

Le comité local d’information et de suivi (CLIS) du projet barrage de Pwëbuu (Pouembout) se réunira le 25 janvier prochain. A cette occasion, les associations, coutumiers et institutions membres du CLIS échangeront sur les résultats des études et l’avancement global du projet. Cette réunion étant publique, toutes les personnes intéressées sont invitées à y assister !

Le Code de l’Environnement de la province Nord prévoit que pour toute installation ayant un impact sur l’environnement ou l’aménagement du territoire ou présentant un fort enjeu socio-économique, un comité local d’information et de suivi (CLIS) soit constitué pour la durée de vie du projet. Son rôle est de veiller au respect de la participation du public en phase d’élaboration et porte une mission générale d’information et de suivi en phase d’exploitation d’un projet. Sa composition est encadrée règlementairement et regroupe des associations environnementales et représentantes de la société civile, les représentants coutumiers ainsi que le représentant de la direction de l’environnement de la province Nord. L’arrêté émis par la province Nord en définit la composition, ainsi que les principales règles de fonctionnement.

Le CLIS dédié au projet Barrage multi-usages de Pouembout a ainsi été créé en mars 2019 et regroupe les associations suivantes : Tâgadé conteurs du Nord, Pwara Waro, Jeunes et chômeurs de Pwëbuu (Pouembout), Vies d’ô douces, Centre d’Initiation à l’Environnement, Fédération des chasseurs. Son président, Jean Naouna de la tribu de Wëté (Ouaté) et son vice-président Julien Barrault du CIE ont été élus lors de la séance du 27 juin 2019 pour un mandat de trois ans.

Le CLIS du barrage de Pwëbuu (Pouembout) s’est réuni 6 fois depuis sa création, à l’occasion d’étapes clés pour le projet. Il est le siège de discussions autour de thèmes variés, notamment l’impact environnemental du futur ouvrage ou la communication autour de ce grand projet.

Le CLIS se réunira de nouveau le mercredi 25 janvier à partir de 17h00 en salle DSASE à l’hôtel de la province Nord. A l’ordre du jour de cette réunion ouverte au public : un point d’avancement sur le projet et les études associées ainsi que l’élection des nouveaux président et vice-président du comité.